Fait à Bignona, le 01/09/2024
Association de la presse départementale de Bignona
Objet : Protestation contre la posture inamicale et méprisante à l’ODCAV de Bignona
Monsieur,Nous vous écrivons pour exprimer notre désaccord concernant le mépris des responsables de l’organisme départemental de coordination des activités de vacances(ODCAV) de Bignona. En effet pour une bonne collaboration dans les sites qui doivent abriter les compétitions, nous, journalistes du département de Bignona, avons émis l’idée de rencontrer le président de l’ODCAV de Bignona, M. Bodian Abdou Karim qui s’est emmuré derrière une posture dilatoire qui consiste à renvoyer les journalistes vers le Chargé de la communication de ladite structure. Ce dernier qui a eu du mal à avoir le feu vert de son « Puissant » président a clairement fait savoir que son patron n’a pas donné son aval.
C’est au dernier moment après moult tractations, qu’ils ont accepté une rencontre de fumage qui consiste à nous écouter pour ensuite dénigrer les journalistes reporters sportifs. Cette année, l’Odcav fait de grave insinuation en accusant certains journalistes sportifs du département Bignona d’escroquerie car le chargé de la communication à laisser entendre lors de la rencontre tenue à la salle de réunion de la radio Fm AWAGNA de Bignona avec les journalistes ce Samedi 31 Aout 2024 VERS 12H 30 MN qu’il y a une rumeur au sein de l’ODCAV de Bignona qui stipule qu’il y aurait des journalistes qui font le tour des terrains pour encaisser de l’argent à l’insu de leur rédaction. Des propos très graves que nous condamnons. Pire, le président, M. Bodian Abdou Karim convoque le représentant des journalistes trente minutes (30 mn) après la concertation de 12H 13H pour déconstruire les propositions faites devant son chargé de communication. Et après se lancer dans leur sport favori, l’insinuation, en allant jusqu’à demander au chargé du sport et de la culture des journalistes M. Goudiaby Sadia Bourgi,
si les journalistes dont il est question, ont une accréditation pour prétendre couvrir les phases départementales de l’ODCAV de Bignona. Une chose curieuse, on se demande, si c’est de la mauvaise foi ou c’est juste un sentiment de mépris à l’égard des journalistes. M. Bodian Abdou Karim a plusieurs fois parlé au micro de ces jeunes reporters sans les demander s’ils ont des cartes de presse maison, mieux se faire inviter ou envoyé ses collaborateurs dans les émissions. Pour rappel, l’ODCAV de Bignona a rencontré les journalistes sportifs du département de Bignona à la veille des phases départementales de 2023 organisées dans l’arrondissement de Kataba1, à l’arrivée, l’ODCAV de Bignona a foulé aux pieds les engagements pris lors de la rencontre avec les journalistes. En vérité, on demande l’ODCAV de coordonner et d’organiser les activités de vacances mais on ignorait que cet organisme est composé des gens qui tirent le département de Bignona vers le bas pour protéger leurs propres intérêts, au même moment, ils tentent de jeter du discrédit sur d’autres partenaires du mouvement « navétane ».
“Que chacun balaie devant sa porte et les rues seront nettes.” Dit l’adage. Nous demandons au président de l’ODCAV de Bignona de s’inspirer des grands hommes qui ont portés le département de Bignona sur leurs épaules sans faire grand bruit en étant utiles à leur communauté. Nous n’allons jamais accepter les enfantillages de la structure qu’il dirige.
Nous vous informons par la présente que nous rejetons catégoriquement vos insinuations, la posture de votre structure à travers un comportement de déni et de sabotage. Nous nous opposons à cette décision injuste, erronée, inappropriée dans la mesure où tout est fait pour ternir l’image des journalistes reporters du département de Bignona.
Nous avons demandé à l’ODCAV de faciliter le travail des journalistes au cours de la compétition surtout aux à bord du terrain. Les journalistes ont tout le temps fait leur travailler en toute responsabilité dans le professionnalisme. Le public est notre raison d’être. Donc vouloir se cacher derrière des appréhensions et des considérations pécuniaires pour nous dénigrer n’est pas tolérable.
Restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous remercions pour l’attention que vous porterez à cette contestation.
Dans l’attente de votre retour, nous vous prions d’agréer, Monsieur, nos respectueuses salutations.
Le Président
